Le 10 juin 2024, un an et un jour après la dissolution de l’Assemblée nationale et le début de l’extension de la crise démocratique, notre collectif, composé d’une quarantaine de personnes de classe populaire engagées dans la vie citoyenne et/ou politique à Marseille, dans l’Ain, en Île-de-France et dans le Nord et de chercheur·euses de métier ont présenté, en avant-première, leurs premières conclusions après près de trois ans de travail sur la sur-représentation des classes supérieures en politique.
Cet événement, qui a réuni 300 personnes à l’Ecole Normale Supérieure, a été le lancement d’une mobilisation inédite.
Les premiers retours dans la presse :
L’avant-première du 10 juin à l’Ecole Normale Supérieure dans [Contexte], [Médiapart / A l’air libre], [L’humanité], [Le courrier des maires], [Le Monde], [Siège arrière, la newsletter de l’émission Backseat (version longue sur abonnement)]
Dans les semaines qui ont suivi, nous avons démarré une tournée de présentations de nos résultats en France, en Europe et dans les médias, afin de préparer la publication de notre premier rapport.
Retrouvez les retours suite au débat du 28 juin à l’Après M à Marseille dans [La Provence], [La Marseillaise] ainsi que notre passage sur [Konbini] et [Fakir], ainsi que notre compte-rendu de notre participation au « Fantaritiro » en Italie.

Enfin, retrouvez le dossier spécial « Parité sociale » dans Libération du 30 juin : Elections : la «parité sociale», un remède contre le plafond de verre qui bloque les candidats des classes populaires / Jimmy Pahun et Sylvain Carrière, députés issus des classes populaires : «On n’a pas les codes mais on est compris par le plus grand nombre» / Parité sociale en politique : au Rassemblement national, se dédiaboliser rime-t-il avec s’embourgeoiser ? ]